Dans sa volonté d’aider les autorités de la transition à lutter contre l’insalubrité, l’homme d’affaires Aboubacar Böbödi Camara participe activement à l’assainissement de la commune de Kaloum.
A travers sa fondation, Aboubacar Böbödi Camara pour la paix, l’Entrepreneur met ses propres moyens financiers et matériels pour donner une très belle image à la capitale guinéenne.
Böbödi et ses hommes participent régulièrement à la journée de l’assainissement décrétée par le président de la transition Colonel Mamadi Doumbouya. Une activité prévue le premier week-end (samedi) de chaque mois. En plus de mobiliser massivement les habitants de Kaloum à l’assainissement, Böbödi met ses camions de ramassage d’ordure à la disposition de la population.
C’est dans ce même état d’esprit que M. Camara à travers sa fondation a initié un autre projet pour rendre plus belle la ville de Conakry. Cela permettra aux habitants de la capitale de célébrer les fêtes de fin d’année dans un environnement sain et propice.
Pour l’instant Böbödi est le seul bailleur de fond de ce projet utile à la société. Il a mis son argent, ses camions et d’autres moyens matériels à la disposition de l’équipe pour réussir cette mission qui est un acte de patriotisme.
Depuis plus de 10 jours, plus de 150 jeunes sont sur le terrain pour nettoyer la capitale. Ces jeunes sont régulièrement nourris et payés par Böbödi, apprend-on.
De par sa fondation, Aboubacar Böbödi nettoie les mosquées, les lieux publics et participe aux entretiens routiers. Cela a également permis de changer l’image du lac du Tombo situé en face du Palais du peuple.
Par ailleurs, cette fondation de Böbödi œuvre dans d’autres domaines, dont celui de l’éducation. Elle fait des dons dans les écoles et scolarise les enfants déshérités.
De l’autre côté, la fondation Aboubacar Böbödi Camara à plusieurs autres projets dans le futur pour contribuer au développement de la Guinée. Alors à travers ses actions pour la paix, Böbödi œuvre pour la réussite de la transition dirigée par Colonel Mamadi Doumbouya et le CNRD.
Guinée Culture Magazine