Créa Concert présente la première édition de la Nuit de la Guinée au Zénith

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En provenance de la France, les responsables de la structure Créa Concerts sont actuellement à Conakry pour lancer les activités de la première édition de la Nuit de la Guinée au Zénith prévue le 1er octobre à Paris.

Au cours d’une conférence de presse tenue ce samedi à la maison commune des journalistes, le projet a été officiellement présenté aux hommes de médias.

La Nuit de la Guinée au Zénith est un événement qui vise à promouvoir la Guinée à l’international à travers la culture. Avant la veille du concert géant qui regroupera les artistes guinéens et de la diaspora ainsi que les artistes étrangers, une journée sera consacrée à la promotion des entreprises guinéennes.

« Le projet la Nuit de la Guinée qui est scindé en deux, on aurait dû l’appeler le weekend guinéen. On a annoncé deux dates à Paris le 30 et 1er octobre. Le 30 sera un évènement bi to bi la où les entreprises guinéennes vont se rencontrer avec les entreprises étrangères pour parler d’affaires. Le but c’est de créer un pont entre les entreprises guinéennes et les entreprises européennes.  Cela sera clôturé par un concert géant au Zénith qui est une salle emblématique. » affirmé Tidjane Diallo, gérant de Créa Concert.

Au niveau de la programmation, Tidjane indique que la scène sera composée de 80% d’artistes guinéens dont ceux de la diaspora et les 20% seront des musiciens étrangers.

Selon le conférencier à date, plus d’une dizaine d’artistes guinéens ont déjà accepté de s’engager avec ce projet. Il s’agit notamment de Fodé Kouyaté, Ibro Diabaté, Alasko, Fiskiller,Melangeur…

« On a l’accord de principe de Sékouba kandja avec tout l’ensemble instrumental » a révélé M.Diallo.

Pour réussir ce projet, Tidjane Diallo sollicite l’accompagnement de tous, notamment de l’Etat guinéen.

D’ailleurs c’est ce message qui a été lancé par le patron de Nord Sud Communication, Al Souaré.

« On doit l’accompagner avec ce projet. C’est ça le vrai branding Guinée. Mon message est à l’endroit des autorités, il faut qu’elles s’approprient ce projet.. »

Ibrahima Bah

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